FABER&FABER / 314 PAGES / CONTEMPORAIN
It was a wrong number that started it, the telephone ringing three times in the dead of night, and the voice on the other end asking for someone he was not.
Comme le titre l'indique, la trilogie New Yorkaise est une trilogie! Logique me dirait vous. Les trois volumes sont publiés ensemble et ne sont pas tous aussi long les un que les autres. Pour vous faire une petite idée, le premier tome prend disons presque la moitié du livre, le second quelques dizaines de pages et le troisième ce qu'il reste.
En ce qui concerne le contenu, on n'est pas tout à fait sur une histoire policière puisque nous n'avons pas à proprement parler de policier qui même une enquête, cependant, on a bien une enquête et du suspens. Un auteur va recevoir un coup de téléphone, la personne de l'autre côté du combiné demande le détective Paul Auster. Après de nombreux appels pour les mêmes raisons, toujours de la même personne, l'auteur, piqué dans sa curiosité, va accepter la mission et rencontrer l'homme à l'autre bout de la ligne. De la part toute l'intrigue.
L'intégralité du roman est intéressante. On a trois histoires différentes qui d'une façon ou d'une autre sont plus ou moins liés par quelques mention d'un nom. Le suspens est un élément central du roman mais également le fait d'être auteur puisque dans chaque volume le personnage principale est auteur, que ce soit auteur de roman ou auteur d'article ou critique.
J'ai lu ce roman à moitié sur papier, à moitié en audio et sur la version Audible nous avons droit à une interview de l'auteur à la fin du récit qui apporte pas mal de précision sur la création du roman, l'intention de l'auteur à travers son récit, en bref, c'est un contenu additionnel pertinent et intéressant pour quiconque aurait à lire ce roman pour les études notamment.
J'ai apprécié la première et la troisième partie du roman. La seconde partie m'a posé quelques soucis et m'a un peu perdu dans ma lecture. Je ne conseillerai pas cette lecture en VO pour un débutant, toute fois, le roman vaut le détour.
Elo.
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